Pourquoi ce nom ? Un de nos jésuites va vous répondre
La doctrine du purgatoire est fondée sur ceci que, pour être unis à Dieu dans une communauté de vie, il faut que nous soyons tout amour comme lui-même est tout amour. Pas un atome, pas un grain d'égoïsme ne peut entrer en Dieu. Seul l'amour est assimilable...
Vivre d'amour, c'est donner sans mesure, Sans réclamer de salaire ici-bas. Ah ! sans compter je donne, étant bien sûre Que lorsqu'on aime on ne calcule pas (PN 17.) Conrad de MEESTER, 1980. Pensées 1, une tendresse ineffable. Editions du Cerf Desclée...
... "Vous êtes mes amis si vous faites ce que je vous commande. Ce que je vous commande, c'est de vous aimer les uns les autres." La loi de fructification imposée au disciple, c'est l'amour fraternel. Rien ne remplace. Pas question de construire monument,...
Ah ! que vienne l'amour ! Seul son regard peut faire, quel feu te consume, Ô monde, te libère ! Friedrich RÜCKERT (1788-1866) Poème tr.Lasne, op.cit
Pour ces poumons qui respirent Pour ce coeur qui bat Pour ces regards, ces sourires, Pour le moindre pas, Pour toute cette Vie en moi, A chaque minute, à chaque seconde, Pour toute cette Vie en lui, L'inconnu, le passant, l'ami, Pour ce miracle quotidien...
Voici la réponse du texte " La soif d'aimer " Ecoute petit, Arrête-toi, et fais, silencieux, un long pèlerinage jusqu'au fond de ton coeur. Marche le long de ton amour tout neuf, comme on remonte le ruisseau pour en trouver la source, Et tout au bout,...
Je voudrais aimer, Seigneur, J'ai besoin d'aimer, Tout mon être n'est que désir : Mon coeur, Mon corps, se tendent dans la nuit vers un inconnu à aimer. Mes bras battent l'air et je ne puis saisir l'objet à mon amour, Je suis seul et voudrais être deux....
Savoir, c'est le fait de l'artisan, mais posséder la connaissance, c'est le grandissement de l'âme, c'est la vie de l'esprit uni avec elle dans la nature. Mais la vie, c'est l'amour. Bettina BRENTANO (1785-1859) Günderode, tr. Klee-Palyi et Gueutal, in...
On aime et l'on se leurre Que l'amour donne au coeur une joie sans mélange, mais toutes les couleurs font seules la splendeur de la torche embrasée Ludwig TIECK (1773-1853) - poème tr. Lasne, op.cit