En méditant les textes de la messe de ce lundi, la joie a envahi de nouveau mon âme et mon esprit à travers ce passage d’Isaïe : « On n’y entendra plus de pleurs ni de cris » (Is 65, 17-21). A la messe paroissiale hier, le chant « Comme Lui » de Robert LEBEL m'avait déjà touchée. M'était alors revenu le passage de Marc « le Fils de l'homme n'est pas venu pour être servi, mais pour servir, et donner sa vie en rançon pour la multitude » (Mc 10, 44 - Mc 10,35-45. Donner sa vie en rançon pour la multitude - Jardinier de Dieu). La joie nous met en mouvement et elle nous conduit à aimer davantage à servir.
Après mon baptême, à l'âge adulte, et jusqu’à maintenant, cela fait plus de 40 ans, je suis au service de l’Eglise de Toulouse comme simple paroissienne à Colomiers. C’est Dieu qui remplit mon cœur de son amour. Évidemment, il y a des hauts et des bas dans ma vie quotidienne mais je crois profondément que c'est Dieu qui me maintient debout.
Me reviennent les mots du chant « Comme Lui »
Offrir le pain de sa Parole
Aux gens qui ont faim de bonheur
Oui, chers amis, ce matin comme Jésus l'a dit au fonctionnaire royal : « Va, ton fils est vivant » (Jn 4, 50) et l’homme a cru à la parole que Jésus lui avait dite et il partit.
Voici le partage de ma joie au cœur de ce carême 2024, qui nous conduit à la révélation toujours plus profonde de l'amour du Fils et du Père envers chacun de nous. Il est toujours vivant en nous, parmi nous et avec nous.
Une paroissienne
Is 65, 17-21 ; Ps 29 (30), 2a.3-4, 5-6, 9.12a.13cd ; Jn 4, 43-54